Pink Cage
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 Eh! Call me Mori-senpai! [100%]

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Katsumi Mori

Katsumi Mori


Citation : " Je préfère avoir le Temps, plutôt que d'avoir l'heure..." - Fred Pellerin
Fiche : ~¤~
A.ffinity P.ass : ~¤~

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MessageSujet: Eh! Call me Mori-senpai! [100%]   Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Icon_minitimeDim 18 Oct - 22:48

• Katsumi Mori •

Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Katsu



Nom : Mori

Prénom : Katsumi
Surnom : Mori-senpai (Katsu-chan pour les intimes)
Âge : 18 ans
Date de Naissance: 1er février 2021
Signe Astrologique: Verseau
Orientation Sexuelle : Homosexuel, bien qu’il trouve les filles fort jolies.

Membre du Club Meisei : Nope.
Rang : 8
Symbole : ~
------


Physique :

La Pink Cage commence à s’obscurcir, signe que cette chose qui s’apparente à la nuit est en train de tomber sur la ville. Cependant, Katsumi Mori n’a pas encore terminé son travail. Accompagné d’un garçon (5 de Carreau) dont il a demandé l’aide, il essaie de réparer la machine sous ses yeux avant que ne sonne le couvre-feu. Bien sûr, il travaillerait bien plus vite si ce gamin cessait de le dévisager. Le Climatologiciens aurait bien voulu pouvoir s’intéresser à autre chose, mais… disons qu’il lui était impossible de regarder ailleurs. Mori-senpai a tout l’air d’un métis. Sa peau est d’une blancheur saisissante, contraste vif avec les autres aux peaux dorées qui l’entoure. Elle semble briller sous cet éclairage artificiel étant censé remplacer le soleil. Sur ses paupières et ses poignets, il est possible de voir un fin réseau de veines, d’une douce couleur lilas. Ses cheveux sont d’un châtain tirant sur le roux, une couleur rare chez les nippons et, bien qu’ils soient coupés courts, ils trouvent encore le moyen de lui tomber sur les yeux. Katsumi ne cesse de les repousser du dos de la main. Ils sont soyeux et impossible à faire tenir en place. Ses fins sourcils sont toujours froncer, même imperceptiblement. Ses yeux sont d’un bleu éclatant, cerclé d’un mince rond noir, faisant paraître ses pupilles immenses. Des cernes d’un mauves sombres, ressemblant, à s’y méprendre, à du maquillage, soulignent ses globes oculaires, ne faisant qu’accentuer l’éclat de ses iris. Non, mais, sincèrement : comment penser que ce garçon est japonais? Et c’est pourtant le cas. Sa petite taille et son visage enfantin le confirment. Le Climatologiciens avait été surpris – et gêné – d’apprendre que Mori avait 18 ans. Pourtant, il en a encore l’air de 15. Il mesure à peine 1m58 et ne doit pas peser plus que 60kg. Il a l’air frêle, squelettique. Sa peau semble tendue à l’extrême sur ses os et ses muscles, comme s’il avait grandi trop vite pour son enveloppe charnelle. Cette impression est d’autant plus accentué de par le fait qu’il porte des vêtements trop grand pour lui. Le 5 de Carreau l’avait souvent vu passer par ici, vêtu de chemises flottantes, de pantalon usées jusqu’à la corde, obligé d’être maintenu par des bretelles. Une veste tombant jusqu’à ses genoux ou un simple chandail de laine. Cependant, en dessous, il porte toujours un t-shirt ou une camisole plutôt moulant. Il n’a pas l’air d’avoir un goût vestimentaire particulier, si ce n’est ses grosses bottes de travaille et ses lunettes toujours à son cou. Il frappe un bout de métal et une étincelle en surgit, lui brûlant le doigts. Grimaçant, il le porte à sa bouche. Il est souvent couvert de bandage, signe de sa maladresse. Sans lui accorder un seul regard, il tant sa main libre au Climatologiciens.

- Tu peux me donner le tournevis qui est dans la boite?

Sa main est maigre, ses doigts, longilignes. Les articulations sont clairement visibles sous la mince couche de peau. On dirait que ses doigts tremblent.



Caractère :

Le Climatologiciens attrape immédiatement l’outil. Agrippant le poignet du garçon aux yeux bleu, il le lui dépose dans la main. Aussitôt, Katsumi frissonne, ouvre de grands yeux horrifiés et ramène violemment son bras à lui en reculant d’un pas. Sans pouvoir se retenir, il hurle un « NE ME TOUCHE PAS » à vous statufier sur place. Le tournevis tombe par terre, émettant un tintement métallique. Un silence lourd tombe entre les deux garçons. Le rouquin respire profondément, cherchant à se calmer. Certain pense qu’il est quelqu’un de hautain, de superficiel. Une personne se sentant plus haut placé que les autres et qui refuse d’être touché par plus bas que lui. Mais en réalité, il est simplement terrifié par le contact des autres. À cause de ce qu’ils peuvent lui faire et de ce que lui pourrait leur faire… Il n’est pas la personne la plus patiente qui soit. Pour être franc, il est même la personne la plus impatiente que vous pourrez rencontrer. Et il le sait très bien. Il sait que si quelqu’un l’énerve, il ne pourra pas se retenir lorsqu’il va exploser. Non pas qu’il se considéra comme fort ou supérieur, mais possiblement dangereux, ça, oui. De nature colérique, il règle à peu près tout avec ses poings. Il a souvent eu des problèmes à cause de cela. Mais il essaie de se contrôler – ce qui est particulièrement difficile, ma foi. Reprenant contenance, il se penche et ramasse l’instrument de travail. Sans se justifier, il continue sa réparation en s’éloignant imperceptiblement de l’autre. Il rougit légèrement ce qui, sur sa peau si pâle, est clairement visible. Il rougit facilement, ce qui est encore plus gênant à cause de sa peau blanche. C’est bien simple : il pourrait rougir parce qu’il rougit! Ce côté de sa personnalité l’énerve particulièrement.

Alors, qu’il se concentre enfin sur son travail et que ses joues redeviennent normal, il se rend compte que le 5 de Carreau continu de le fixer. Une exaspération franche gronde dans sa tête. Il déteste être le centre d’attention. Tout simplement parce qu’il n’a pas besoin d’admirateur ou d’ami. Il se suffit à lui-même et il voudrait bien que les autres le comprenne. Enfin… Il grimace. Ce n’est pas comme s’il appréciait la solitude. Même qu’il a déjà eu un copain ou deux… une copine, aussi, au tout début. Il trouve les jeunes filles magnifiques. Idylliques, elles ressemblent à des poupées. Il les trouve trop pures pour être souillés par lui. Ça et aussi le fait qu’elles ne l’excitent pas. C’est pour cette raison qu’il a sortit une semaine à peine avec elle. Pour lui, les adolescentes sont des objets à contempler avec déférence. Les garçons, par contre… Katsumi s’est révélé être un Uke du genre entreprenant. Jaloux et compulsif, son copain se retrouvait souvent sur le carreaux (ce n’est pas un jeu de mot ou quoi que ce soit). Évidemment, avec eux aussi, cette relation n’a pas durée. Ainsi n’as-t-il jamais dépassé le stade des baisers. Il cligne rapidement des yeux, constatant qu’il avait fini de bidouiller la machine. Ne restait plus qu’à vérifier si elle fonctionnait. Le Climatologue abaissa plusieurs manettes, appuya sur quelque bouton et, dehors, une pluie légère se mit à tomber. Parfais! Rassemblant ses outils, il passa une main dans ses cheveux.

- Voilà, c’est comme neuf.
- Merci. Au revoir.

Se redressant, Mori-senpai aperçu le Climatologue ramasser plusieurs boites. Voyant qu’il y en avait beaucoup trop pour lui, il alla l’aider. Le 5 de Carreau fronça les sourcils en observant le 8 se pencher et rassembler les boites également.

- Je peux m’en occuper tout seul. Et puis, vous avez fini votre travail.
- Non, c’est bon. Et puis, il reste un peu de temps avant qu’il ne fasse noir.
- Hmm.

Katsumi aide souvent les gens de la sorte. Pas parce qu’il aime ça ou qu’il veut s’attirer des faveurs. C’est une simple raison d’éducation. Ayant passé la plupart de son temps en compagnie d’adulte, il avait naturellement pris l’habitude d’accorder son aide. Et puis, s’il avait du temps libre, où était le problème? Par contre, avoir été pressé, il l’aurait superbement ignoré. Une fois toutes les boite rassemblé, il prit son sac à dos contenant tous ses outils et quitta le bâtiment. Il marcha d’un bon pas, souhaitant arriver chez lui avant qu’il ne fasse trop sombre. Il n’a pas peur, mais il n’apprécie pas vraiment la nuit. Son imagination fertile peut lui faire voir n’importe quoi, n’importe où. Il atteint sa chambre avec soulagement, pile au moment où les sonneries du couvre-feu retentissent. Soupirant d’aise, il se laisse tomber sur son lit. Se défaisant de son chandail de laine, il replace la camisole blanche qu’il porte en dessous. Il marche jusqu’à la porte puis se ravise. Il est trop tard pour prendre une douche. Les douches communes le gène, mais c’est aussi bien comme cela. Étant claustrophobe, il n’aurait pas supporté de prendre une douche. Et détestant les bains… et bien, il serait particulièrement sale à l’heure qu’il est. Haussant les épaules, il sort de sous son lit une cafetière qu’il a fait venir le mois passé. Grand amateur de café, il ne pouvait pas rêver de mieux que sa cafetière personnelle. Pendant que l’amer mixture tombe goutte à goutte, il se prend à rêver à un gâteau au caramel. De toute les contradictions qui forment ce garçon étrange, celle-là est la pire : Etre amateur de café, cette chose particulièrement amer, mais adorer toute chose sucré. Il attrape la carafe de café et s’en verse une tasse. Il la vide d’un trait et essai de la déposer sur la table. Essaie, car sa main ne lui obéit plus. Surprise, surprise. Tremblante, elle reste accrocher au contenant. En soupirant, il fait bouger ses doigts un à un grâce à son autre main. Ses articulations ont encore bloqué. Ça empire avec les ans. Ce ne sont pas les personnes âges qui font de l’arthrite? On peut dire que Katsumi supporte assez bien la douleur. Tant qu’elle reste raisonnable. Il lui arrive de se réveiller en pleine nuit parce que ses genoux le fait souffrir, mais il parvient toujours à en venir à bout grâce à des étirements. Massant sa main, il ferme les yeux. Une grande lassitude l’envahi tout à coup. Il retire sa camisole, laisse tomber son pantalon sur le sol. Croisant son reflet dans le miroir, il aperçoit les cinq petites cicatrices sur son flanc gauche et les observent avec dégoût. Il sent quelque chose couler sur sa joue et tombe en état de choc en constatant qu’il s’agit d’une larme. Mais qu’es-ce que…? Il s’essuie prestement les yeux. Il ne pleure jamais devant personne. Jamais. Mais même pleurer en privé lui fait honte. En grognant contre lui-même, il se dirige vers son lit et se glisse sous les couvertures.

Quand il était gamin, à chaque fois qu’il pleurait, sa mère lui caressait les cheveux pour le réconforter. Il adorait ce contact. Une main chaude… affectueuse… calme… Es-ce qu…e… personne ne lui… caressa jam…ais la tête…de … cet…
Il s’endort assez facilement, ce rouquin.


Histoire :Il fait sombre. Très sombre. Katsumi ne sait plus où il est. Il fait horriblement chaud et il est obliger de se plaquer une main sur la bouche pour étouffer son souffle. Il ne sait pas pourquoi, mais il ne doit pas faire de bruit. Il ne doit pas attirer l’attention. Il doit rester caché… Il fait beaucoup trop chaud. Il commence à avoir du mal à respirer. Il se fait du vent de sa main libre. Tout à coup, elle touche quelque chose de dur. Il retient son souffle en entendant l’objet frotter contre un mur en glissant. Oh non… non, non, non! Il essaie de la rattraper, mais il ne le voit pas. Ses efforts désespérer ne font que plus de bruits. Non, non, non. CLANG! L’objet s’écrase au sol dans un vacarme d’enfer. Il commence à pleurer. Des bruits de pas se font entendre. Il retient son souffle, reste immobile. Pitié… non… Devant lui, un rectangle de lumière apparaît soudainement, des jambes s’y profilant. La silhouette s’accroupi en susurrant… « Katsumi… » Non… Terrifié, il se met à crier…

…et se réveille. Il se redresse d’un coup, jetant des coups d’œil effrayés autour de lui. Il est dans sa chambre. Sur la table basse, un peu plus loin, la tasse de café qu’il s’était servi un peu plus tôt. Il est dans la Pink Cage. Il en serait presque soulagé si la pensé que cet endroit n’est qu’un monde artificiel n’était pas incrusté dans son esprit. Il passe la main dans ses cheveux et grimace de douleur. Sa main tremble encore, et ce n’est pas de froid, ni de peur. À l’aide de son autre main, il tire sur ses doigts, faisant craquer ses articulations. Il fait ensuite bouger doucement sa main, sentant chacun des os la formant grincer les uns contre les autres. Il se lève, constate que le soleil en fait de même. Il se dirige vers les douches. Une cascade d’eau bouillante, c’est ce dont il a besoin. Cela faisait maintenant des mois qu’il n’avait pas fait ce cauchemar. Pourquoi maintenant? Il jette un coup d’œil à ses cicatrices. Pourquoi un rêve aussi insignifiant le rend-t-il terrifié à ce point…? Peut-être… Il ferme les yeux. Peut-être parce qu’il y voit papa…

~¤~


Par la fenêtre, on peu apercevoir de gros flocon duveteux tomber du ciel. On dirait des plumes immaculés tourbillonnant violemment. Dans un salon chaleureusement éclairé, un homme et une femme. Assis sur le divan, ils observent avec affection le poupon qui dort à point fermé dans les bras de sa nouvelle mère. À quelque jour à peine, il sait qu’il s’appelle maintenant Katsumi et que le battement de cœur qui lui parvient dans son sommeil est le son le plus rassurant qu’il n’entendrait jamais. Le couple Mori avait longtemps désiré un enfant. Cependant, des tares génétiques les empêchaient d’en concevoir. C’est pourquoi ils avaient été plus que ravis de recevoir ce bambin chez eux. Peu leur importait s’il était synthétique, s’il n’était pas venu au monde grâce à dieux : c’était maintenant leur enfant. À eux. Dès les premiers jours, ils étaient indubitablement attachés à ce petit garçon. Les parents ne furent nullement surpris de voir ses cheveux rouquins ou ses grands yeux bleus : leur enfant se nommait Katsumi (beauté victorieuse), ce n’était que naturel qu’il soit si différent et magnifique.

Le garçon était adorable à la maison, mais dès qu’il commença l’école… sa personnalité changea quelque peu. Ayant toujours vécu seul avec ses parents, il était habitué à ce qu’on lui explique, qu’on l’aide, qu’on attende patiemment qu’il comprenne. Aussi, il n’était pas à l’aise en compagnie de tant d’enfant de son âge. Ils étaient bruyants, envahissants, dérangeants et complètement stupides. Et cela s’empira avec le fait qu’ils voulaient tous s’approcher de lui! Au départ, il était bien trop intimidé pour réagir : que faire lorsqu’une dizaine de gamin veulent devenir votre ami? Alors il se laissait faire, bien que cela ne l’amusa pas du tout. Puis, un jour, fatigué d’être tiraillé dans tous les sens, exténué d’être le centre d’une dispute ou d’être traité comme un objet, il explosa. Sans trop comprendre ce qui faisait, il frappa un gamin qui le tirait par la manche. Un coup dans le ventre qui le fit tomber par terre. Puis, de toutes ses forces, il lui donna un coup de pied sur le crâne. Il allait continuer lorsqu’un enseignant l’immobilisa et le souleva de terre pour l’emmener plus loin. Ce jour là, on le renvoya chez lui, lui interdisant l’école pour une semaine. Ses parents étaient scandalisés qu’on leurs dise que leur Katsu-chan avait fait ces choses. Comment était-ce possible? Il était si doux! Katsumi resta donc chez lui toute une semaine. Il adora ce temps de répits. Il suivit sa maman au marché, l’aida à préparer les repas… Il lisait des histoires avec papa et s’endormait sur le fauteuil, entre ses parents. C’était ça, le genre de vie qu’il aimait. Calme, tranquille, sereinement passé aux côtés de ses parents. Il les aimait tant! Sa mère le cajolait, lui caressait les cheveux, l’embrassait dans le front… Son père, lui, était plus… discret. Plus étrange, du moins. Il le soulevait de terre et respirait longuement son odeur. Puis, il le reposait et laissait sa main descendre le long de son dos avant de partir. Mais pour Katsumi, ces marques d’affections était identique à celles de maman. Il retourna à l’école et fût heureux de constater que certain le laissait tranquille. Peut-être les avaient-ils effrayés.

Ce n’est qu’après quelques jours qu’il constata que le garçon qu’il avait frappé n’était plus là. Son enseignant lui appris qu’il était chez lui, qu’il souffrait d’une commotion cérébrale. Le gamin aux cheveux roux ne compris pas vraiment ce dont il s’agissait, mais il savait que c’était grave. Seulement, il ne se sentait absolument pas coupable. Les autres enfants le laissèrent tranquille un temps, mais, bien vite, d’autres gamins vinrent le voir. C’était des mioches du genre bagarreur : les maîtres de la cour de récréation, ceux qui sont les plus forts et qui dicte la loi. Même chez les plus jeunes, il y a des hiérarchies à respecter. Ils voulaient qu’il fasse partie de la bande. La plupart des enfants auraient accepté avec joie, content de faire parti du groupe le plus influent, le groupe que tout le monde envi. Mais Katsumi ne voulait faire partie d’aucun groupe. En fait, il ne voulait même pas d’amis. S’il était dans cette école, c’était pour étudier, rien de plus. Apprendre, tout simplement. Il n’avait besoin de personne d’autre que papa et maman. Alors ce fût un « non » catégorique qui sortit de sa bouche. Les gamins semblèrent désarçonné, comme si c’était la première fois qu’ils entendaient ce mot. Une fois passées la surprise, ce fût la honte sur leurs visages. Une honte qui se transforma bientôt en colère. Non, mais! Pour qui il se prend ce gamin?! D’où il sort pour refuser une tel offre?! Alors ils commencèrent à le pousser. Mauvais, mauvais… Le garçon à la peau blanche se retint pendant un maximum de 5 secondes avant de répliquer. Il se mit à frapper, à griffer, en criant des insultes qui lui venait naturellement en tête. Il ne savait pas que les coups qu’il donnait étaient plus douloureux que ceux qu’il recevait. Que son ossatures spécial était si solide que ça pouvait en devenir dangereux. Encore une fois, les enseignants intervinrent.

On le retourna chez lui, comme la première fois, cependant, lorsqu’il revint à l’école, il était maintenant surveillé en permanence. Même qu’il rencontrait une fois par semaine une dame très gentille qui se disait « psychologue ». Elle disait qu’il devait apprendre à contrôler son tempérament colérique. Cette fois là aussi, il ne comprit pas vraiment de quoi elle parlait, mais ça lui était égal. Parce que, maintenant, il était constamment entourer d’adulte et les autres enfants le laissaient tranquille. C’était beaucoup mieux. Il était doué à l’école. Pas étonnant : il adore apprendre. Il trouvait fascinant qu’il exista tant de Kanji dont il ignorait la signification. Voyant que son fils n’avait plus de problème à l’école, sa mère décida de recommencer le travail. Comme elle avait arrêté pour élever convenablement Katsumi, elle commençait à s’ennuyer un peu à tenir la maison. Ainsi, elle passait de nombreuses entrevus et le garçonnet se retrouvait souvent seul avec son père. Et plus il vieillissait, et plus son paternel devenait franchement étrange. Il le fixait longuement, le prenait dans ses bras et l’embrassait dans le cou. Peu à peu, l’enfant commençait à comprendre que c’était légèrement différent de maman, mais il ne saisit jamais à quel point avant ses 7 ans. Maman avait trouvé un travail de soir. Ainsi, Papa et lui se retrouvait toujours seuls pour la nuit. Il regardait la télévision quand papa est entré dans la pièce. Il était torse nu et tenait une serviette dans sa main. Il souriait.

- Tu viens prendre ton bain, Katsumi?
- Oui, oui!

Le gamin bondit de sa chaise et s’agrippa à la main que lui tendait son père. Il ne remarqua pas qu’il resserrait nerveusement son emprise sur ses doigts. Ils entrèrent dans la salle de bain, déjà embuée de vapeur montant de l’eau chaude. Le gamin glissa sur le carrelage en riant. Son père s’accroupie et l’aida à se dévêtir. Le chandail, le pantalon… Katsumi sauta dans la baignoire. Il a toujours adoré prendre sont bain. Il peut flotter, plonger sous la surface, faire de bulles… La douche, c’est bien moins amusant! En plus, c’est fatigant : rester debout, comme ça, pendant looooooonnngtemps…. Pff! Il préférait de loin la baignoire. Alors qu’il s’amusait dans l’eau, son père était accoudé au rebord du bain, le fixant sans siller. Il se mordait les lèvres et fronçait les sourcils. Bien plus tard, l’enfant se rappellerait qu’il s’était lever et avait fermé la porte. Nouveau sourire.

- Papa peut venir prendre un bain avec toi, Katsumi?
- Bien sûr!

Pour le gamin aux yeux bleus, ça ne pouvait qu’être génial. Prendre un bain avec papa! Ils allaient s’amuser, c’est certain… Il se poussa dans un coin de la baignoire pour laisser entrer son père. L’eau monta encore plus eau et cela le fit rire. Attrapant son canard en plastique, il nagea jusqu’à son père. Celui-ci l’attrapa et vint le coller contre lui, le dos contre sa poitrine. Katsumi babillait comme seul un enfant de 7 ans pouvait le faire à propos d’un simple canard. Son père commença alors à le caresser. Le gamin n’y porta pas attention, se disant qu’il le savonnait. Toutefois… Il commençait à se sentir mal à l’aise. Cette sensation empira lorsque son père le serra encore plus contre lui, plaquant une main sur sa poitrine et laissant glisser l’autre le long de sa cuisse.

- Papa…?
- Chut…
- Papa, qu’es-ce que…?

Une main brutale se plaqua sur sa bouche. Cette fois, il paniquait. L’autre main palpait, caressait, se baladait sur le maximum de peau qu’il le pouvait. Le gamin commença à se débattre. Plantant ses ongles dans la main qui l’empêchait de respirer, il réussit à parler.

- Papa! Qu’es-ce que tu fais?!
- Chut, chut… Tout va bien aller, Katsumi…
- Pa…
- Chuuut….

~¤~


- Où est Katsumi ?
- Il ne se sent pas bien. Je crois qu’il est malade.
- Quoi? Je devrais peut-être rester, alors…
- Non, non… Ne t’inquiète pas. J’ai congé aujourd’hui et tu as déjà promis de remplacer ta collègue.
- … D’accord… mais s’il y a quoi que ce soit…!
- Oui, je t’appelle.

Couché dans son lit, Katsumi écoute ses parents parler. Il n’a presque pas dormi. Il a passé une bonne partie de la nuit à pleurer et à s’endormir d’épuisement pour se réveiller quelques minutes plus tard à cause de la douleur et pleurer de nouveau. Son corps entier le fait souffrir. C’est à peine s’il peu se tourner. Il ne comprenait pas vraiment ce qui s’était passé. Une chose était claire pour lui, cependant : son père lui a fait mal. C’était la première fois. Il n’aurait jamais cru que cela pourrait arriver. Il n’était pas en colère, ce qui est étonnant vu son caractère. Il était simplement… triste. Oui, profondément triste. Cette tristesse était encore plus douloureuse que tout le reste. Il aurait bien voulu que maman reste, mais, quelques secondes plus tard, il entend la porte d’entrer qui se refermait. Il ferma les yeux, souhaitant s’endormir. Il se raidit en entendant la porte de sa chambre s’ouvrir. Il ne bouge pas.

- …katsumi…?

Ne pas bouger. Il va certainement penser qu’il dort. Il n’a pas envie de parler à papa. Pas maintenant. Un long silence l’enveloppe. Si long qu’il s’est presque endormi. Mais le plancher à craquer et il a sentit le matelas s’enfoncer sous un nouveau poids. Une terreur sourde commence à se former dans sa poitrine, menace de monter jusque dans sa tête. Ses poings sont serrer si fort sur ses couvertures qu’il en a mal aux jointures. Puis…

-… Ka…Katsumi, je suis désolé… je voulais pas… C’est parce que Papa t’aime beaucoup, tu vois…?

« On ne fait pas mal aux personnes qu’on aime » fusa instantanément dans l’esprit du gamin. Il se mit à trembler, puis se remit à sangloter. Les bras de son père l’enveloppèrent. Son visage s’enfoui dans ses cheveux.

- Chuuut… Je suis désolé… Je ne le referai plus jamais… Je te le jure… ne me déteste pas Katsumi… je…

L’enfant aux yeux bleu hocha la tête. Il ne sait pourquoi, mais il le croyait. Un enfant, ça veux croire, même s’ils savent que le Père-Noël n’existe pas véritablement… Son père tint sa promesse, et tout redevint comme avant. Katsumi continuait d’avoir de bonne note. Maman adorait son travail et papa et lui soupait ensemble tous les soirs. Ils écoutaient la télé, lisaient des histoires puis Katsumi allait se coucher. Ils ne prenaient plus leur bain ensemble. Tout allait bien. Le rouquin serait même parvenu à oublier cette histoire si son plancher n’avait pas craqué cette nuit là. C’était au beau milieu de la nuit. Le gamin avait maintenant 8 ans, mais il croyait encore aux monstres et aux fantômes. Aussi, ce simple craquement suffit à le réveiller. Son lit grinça, puis les bras de son père l’enveloppèrent de nouveau. Son cœur s’accéléra, ses yeux s’agrandirent. Une main se glissa sous sont chandail. Il se débattit immédiatement.

- Qu’es-ce que tu fais??!
- … je suis désolé…
- Non, non, non! Tu as promis!
- …tellement…
- Tu as promis papa!
- …tellement désolé Katsumi…
- Papa!




Le téléphone sonne. Mme Mori, qui est à la maison pendant la journée, s’empresse d’allé décrocher. Elle est complètement sonnée d’entendre la secrétaire de l’école lui demander de venir chercher son fils. Encore une fois, il était suspendu. Trois semaines, maintenant. Non seulement il avait attaqué 2 garçons de sa classe, mais il avait également mordu et griffé l’enseignant qui est intervenu. Une fois à l’école, elle aperçu son fils, assis sur une chaise dans la salle d’attente. Elle s’agenouilla devant lui, lui caressant tendrement les cheveux.

- Pourquoi es-ce que tu as fait ça, mon chéri?

…Katsumi regarda sa mère dans les yeux. « Papa est un menteur. » Il ne pouvait pas dire cela à voix haute. Il ne pouvait surtout pas le dire à maman. Elle serait tellement triste. Ou elle ne le croirait pas. Papa a recommencé. Quatre fois. Et maintenant, Katsumi est en colère. Comment papa peut-il lui faire ça? Comment peut-il prétendre l’aimé alors qu’il le refait, encore et encore, répétant toujours sont « désolé » si vide. « Je n’aime pas ça, maman. Aide-moi. »Mais il ne pouvait pas le lui dire.

~¤~


Maman est partie travailler et Katsumi avait compris, simplement de la façon dont le regardait papa, qu’il devait se cacher. Il est dans la penderie, bien caché derrière les manteaux, les bottes et les parapluies. Il entendait son père marcher, derrière la porte. Il le cherchait sans doute. Puis, il commença à l’appeler. Doucement, au début. Ensuite, de plus en plus colérique. Jusqu’à ce qu’il se mette à hurler son nom. Le garçon aux yeux bleu était terrifié. Il faisait de plus en plus chaud dans sa cachette et il respirait de plus en plus fort sous l’effet de la panique. Il se plaqua une main sur la bouche, essayant de dissimuler son souffle. Une goutte de sueur glissa le long de sa joue. Il commença à s’éventer avec son autre main, et, soudainement, il accrocha un parapluie. Il l’entendit frotter contre le mur, le sons semblant s’étirer à l’infinie. Puis, il tomba, faisant un vacarme d’enfer. Katsumi se mit à pleurer, complètement paniqué. Les bruits de pas se précipitèrent vers la penderie. Non…non… La porte s’ouvre, l’aveuglant de la lumière. Son père s’accroupit en susurrant.

- Katsumi… voyons… papa veut simplement jouer avec toi.
- N…
- Allé… viens par ici…
- …non…

Sans pouvoir s’en empêcher, il se mit à crier. Son père, ne prenant plus la peine d’être doux, l’agrippa par la cheville et le tira dehors. Le gamin s’époumonait, se débattait. Il lança son bras en direction de son père, essayant de le griffer. Passant dans le vide, il ne fit que s’entourer lui-même de son bras. Donnant un coup de pied, il réussit à atteindre son estomac. Le souffle coupé, son père le lâcha. Tombant par terre, le gamin se releva avec l’intention de courir se cacher encore plus loin, mais son père l’agrippa par le flan, plantant ses ongles dans sa chair. Katsumi redoubla de pleurs. Puis, tout sembla cesser soudainement lorsqu’une voix paniquée se fit entendre depuis la porte d’entrer.

- Katsumi?!
- Maman!

Sans perdre une seconde, son père le souleva de terre et le serra dans ses bras, comme pour le réconforter. Sa mère arriva sur cette scène, le visage inquiet.

- Que se passe-t-il?!
- Rien, rien… Katsumi a cru voir un monstre et s’est fait mal en tombant. Le pauvre : il est terrorisé!

La mère soupire, soulagé. Un sourire rassurant sur les lèvres, elle prend le garçon dans ses bras. Aussitôt, il s’accroche désespérément à elle, comme un bébé chauve-souris à sa mère. Elle lui caresse les cheveux, l’emmenant vers la salle de bains pour soigner ses coupures. Elle lui chuchote des mots réconfortant à l’oreille. « Je t’ai sauvé du monstre, mon trésor… » Oui, elle l’avait sauvé du monstre. Mais elle faisait erreur sur l’identité de celui-ci.

~¤~


Le garçonnet ne sait pas ce qui se passe. Il se trouve dans un autobus, en compagnie de plusieurs autres gamin de son âge. Certain ne semble avoir que 6 ans alors que d’autre, comme lui, en on 9. Ce matin là, on avait sonné à la porte. Maman était allée répondre. Papa était déjà parti au travaille. Puis, maman s’était mise à haussé la voix. Elle était en colère. Katsumi avait quitté le salon pour allé voir ce qui se passait. Maman se disputait avec deux hommes qui l’empêchait de leurs claquer la porte au nez. Dès que l’un d’eux l’aperçu, il entra de force et le souleva de terre. Maman le frappait, l’injuriait. Maman pleurait. Le gamin aux yeux bleus, sous le choc, ne pensa même pas à réagir. Et le voilà, assis le plus loin possible des autres, regardant dehors, essayant de voir quelque chose qui lui serait familier. Rien. La route était longue. Tellement longue qu’il finit par s’endormir. Lors qu’il s’était réveillé, il était dans une chambre. Un lit, une armoire et une penderie. Il était étourdi et sa main lui faisait mal. On l’avait endormi pour le tatouer. Ce n’est qu’en regardant par la fenêtre qu’il avait compris qu’il était perdu. Tout seul, abandonné. Loin de maman… et surtout, loin de papa.

Katsumi avait grandi. Il s’était adapté, même s’il n’avait pas forgé de liens durables avec ceux autour de lui. Les copains qu’il eu furent tous, à un moment ou à un autre, trop effrayant pour lui. En réalité, il les avait laissé après qu’ils ont eu le malheur de susurrer un « Katsumi… » à son oreille. Cela déclenchait toujours une crise de panique chez lui.

Il ne veut plus qu’on l’appelle de la sorte. Pour tout le monde, c’est Mori-senpai ou , plus rarement, Katsu-chan.

Il ne veut plus qu’on l’appelle Katsumi…
Ce nom était employé par ceux qui l’aimaient…

Qui l’aimait trop…


Talent particulier :Katsu-chan a un talent apparemment inutile : ses os, ainsi que ses ongles, son plus dures, plus solides que les autres. Il ne s’est jamais brisé un bras ou un doigts. Et c’est plutôt pratique, compte tenu de son caractère : il n’a pas nécessairement besoin de frapper fort pour faire mal. Et des ongles, ça peux être utile dans bien des cas… Cependant, cela vient avec un inconvénient majeur : de l’arthrite.

Ambition : Son plus grand rêve c'est d'oublier. Rien de plus, riens de moins.


• Vous •


• Prénom: Adee (Surnom)
• Âge: 15 ans
• Votre expérience rp: J’ai été sur beaucoup de forum, mais la plupart on soit fermé ou sont morts après une lente agonie.
• Comment avez-vous connu le forum? Animalia Kingdom
• Code du règlement [CODE Validé par SEKAI]



P.S. Errr... Je n'arive pas à mettre mon avatar. Quelqu'un pourait m'aidé? ^_^"
L'inculte, eh!
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Sekai Kakumei
Vice-Président des Meisei [Administrateur]
Vice-Président des Meisei [Administrateur]
Sekai Kakumei


Citation : It's ... not men. It's just him. It's only him. [Ianto Jones - Torchwood]
Fiche : >A lire Là<
A.ffinity P.ass : >A lire Ici<

Personnage
<b>Âge</b> Âge: 17 ans
<b>Orientation Sexuelle</b> Orientation Sexuelle: Homosexuel(le)
<b>Situation Amoureuse</b> Situation Amoureuse: Peut être ...

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MessageSujet: Re: Eh! Call me Mori-senpai! [100%]   Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Icon_minitimeJeu 22 Oct - 20:18

Bienvenu Katumi-san !! Ah non, pardon, Mori-senpai ^^
Bravo pour ta fiche, elle est très bien écrite. J'ai juste relevé quelques petites fautes (de frappe ou d'orthographe) mais rien de bien méchant. L'idée de faire un récit pour expliquer ton caractère et ton physique m'a bien plu ^^

Alors, vu ton caractère, je te verrais bien parmi les Piques. Attendons l'avis de mes confrères. Pour ma part :

Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Validsekai


Citation :
P.S. Errr... Je n'arrive pas à mettre mon avatar. Quelqu'un pourrait m'aider? ^_^"
L'inculte, eh!

Envoie ton image à l'un des trois administrateurs avec un petit message gentil et on fera ça ^^

Sekai, ton humble serviteur.
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Katsumi Mori

Katsumi Mori


Citation : " Je préfère avoir le Temps, plutôt que d'avoir l'heure..." - Fred Pellerin
Fiche : ~¤~
A.ffinity P.ass : ~¤~

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MessageSujet: Re: Eh! Call me Mori-senpai! [100%]   Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Icon_minitimeVen 23 Oct - 21:31

Aww~
Merci!
Et désolée pour les fautes U_U
D'ordinaire, je fait mes fiches avant même de m'inscrire et prend tout mon temps
Mais cette fois-ci, le contexte m'a tellement plu que je me suis dépêchée à tout faire XD

Contente de faire partie du forum~!
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Kamui Shirogane
Président des Meisei [Admin/Graphiste du forum]
Président des Meisei [Admin/Graphiste du forum]
Kamui Shirogane


Citation : « La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas. » [Charles Beaudelaire]
Fiche : [_You.Want.To.Know.Me.?_]
A.ffinity P.ass : [__Links__]

Personnage
<b>Âge</b> Âge: 19 ans
<b>Orientation Sexuelle</b> Orientation Sexuelle: Bisexuel(le)
<b>Situation Amoureuse</b> Situation Amoureuse: Si moi j'aime quelqu'un ? Mais voyons, j'adore tout le monde !

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MessageSujet: Re: Eh! Call me Mori-senpai! [100%]   Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Icon_minitimeSam 24 Oct - 16:22

Bonjour bonjour.
C'est une fiche agréable à lire, et j'aime bien le talent particulier et la contrainte qui s'y rattache.

Quoiqu'il en soit, Sekai-kun à déjà tout dit. Je pense également pour les Piques à mon tour.

Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Validkamui


Il n'y a qu'à attendre l'avis de Masa-chan à présent.
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MessageSujet: Re: Eh! Call me Mori-senpai! [100%]   Eh! Call me Mori-senpai!  [100%] Icon_minitime

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