Nao Takeshi {Finish !}

• Nao Takeshi •

Nao Takeshi {Finish !} ImageNao

Nom : Takeshi] Mon nom ? C'est habituelement un prénom... Takeshi, Bambou, je ne l'aime ps plus que ça.
Prénom : Nao Prénom mixte, court, parfait pour moi. De plus, il m'évite bien des surnom bidons.
Surnom : Nao-Kun est celui que l'on me donne souvent, on m'apelle aussi "Le muet" ou, plus souvent : "L'autre là-bas"
Âge : 14 ans Je fais moins ? Oui, je sais, on me l'avait déjà fait remarquer figurez vous.
Date de Naissance: 23 Décembre 2024
Signe Astrologique: Capricorne
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle Hum ? Non, détrompez vous, je ne suis pas vraiment intéressée par les filles, oui, je sais aussi, je ressemble assez à un garçon pour que l'on puisse dire homosexuel, mais d'un point de vue logique, c'est hétéro. Après, bien sûr, il peut toujours y avoir des exception, ne dit on pas qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ? Ce n'est pas comme si j'avais de l'expérience...
Membre du Club Meisei : Non.
Rang : Le 2
Symbole :

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Physique :
Un physique, hein ? Je crois bien que le mien n’est pas extraordinaire, mais, puisqu’il faut le décrire, mettons nous donc devant un miroir, histoire que je puisse faire quelques commentaires sur mon apparence. Bien, dans cette grande vire réfléchissante, que vois-je ? Et bien, un garçon normal, peut-être à l’air un peu terne. Ça me fais sourire, même moi, je me laisserais presque avoir par ma supercherie… En fait, pour s’en rendre compte, une personne normale devrait me voir nu, ou plutôt, Nue. Oui, avec un « e » à la fin, car, il faut bien l’avouer, je n’ai pas de machin qui me pend entre les jambes, je fais pipi assis, je suis biologiquement parlant une fille. Ce qui ne m’empêche pas de parler de moi au masculin et de tromper tous ceux que je croise. Mais, revenons à ce qui nous intéresse, que voient-ils, tous ces pigeons, ? Et qu’est-ce qui se reflète en ce moment dans la glace ? Hum, on voit un jeune garçon, qui à l’air d’avoir treize ans, sûrement à cause de ma petite taille qui est plutôt stationnaire entre 145cm et 155cm, c’est d’une précision époustouflante tout ça, non ? Ne me maudissez pas moi, maudissez ma mémoire d’huître. En plus d’être petit, je suis maigre, pas comme un cadavre, mais assez maigre pour inquiéter un peu ceux qui me voie, souvent, ceux-ci me demandent si je suis anorexique, non, c’est juste que je ne mange pas grand-chose, je n’ai pas besoin de plus que d’une petite portion à chaque repas, ça me sufis, ce n’est pas pour tout le sport que je fais chaque jours que je vais avoir faim. Non, en fait, je suis plus branché économies de mouvement, de parole et de tout ce qui peut m’éviter de trop grandes dépenses énergétiques, c’est pour cela que l’on me prend parfois pour une statue, ou que l’on me demande si « ça va » ou si « je n’ai pas fait de malaise »… En y regardant plus prêt, que vois-on d’autre ? Du côté des cheveux, on peut observer des tifs plus que rebelles, d’un noir profond, quoique agrémentés de quelques reflets bruns chocolat les jours les plus « ensoleillés » si l’on peut utiliser ce mot pour désigner la lumière artificielle de Pink Cage. Ma coiffure est des plus simple : on laisse pousser sans s’occuper de rien et si ça deviens trop long, on prend une paire de ciseau et on coupe maladroitement en gardant tout de même assez de longueur pour que des mèches viennent devant mes yeux, faisant rempart entre eux et le reste du monde. Une chance que je sois un « Deux » car, à force de couper les chevelures des autres, j’ai fini par avoir la main assez sûre pour épointer les miens sans faire de carnage. Derrière les mèches que seul un myope ayant une conjonctivite pourrait qualifier de véritable frange, j’aperçoit dans le miroir deux grand, très grand yeux verts plutôt foncé, comme le feuillage d’une forêt à la fin de l’été, avant que la couleur devienne automnale. Mes yeux doivent être la partie de mon anatomie que j’affectionne le plus, c’est aussi la seule partie visible de mon corps qui pourrait faire douter les autres de mon véritable sexe, mais, la plupart déduisent juste de la vision de mes longs cils que je dois être un peu efféminé, comme c’est le cas de bien des gens dans le coin. Autour des yeux, il y a tout de même un visage, heureusement direz-vous, car, si je n’en avais pas, cela serrait peut-être effrayant de voir des globes oculaires flotter dans l’air et surmontés de cheveux. Ma figure n’a pas grand-chose qui sort de l’ordinaire, ma peu est couleur de miel, pas bien claire, je ressemble déjà assez à un cadavre comme ça, elle présente juste des reflets vaguement cuivrés qui me donnent bonne mine, dommage peut-être que cet effet soit tempéré par mon expression terne et mes yeux qui, malgré leur joliesse ne présentent pas d’étincelle de vie. J’ai un nez, normal et une bouche aux lèvres fines, quant à la forme générale de mon visage, et bien, elle est assez masculine, mais reste douce. Mon regard vide et mon expression neutre sont déjà assez peu sympathiques pour que l’on n’ai pas à y ajouter une mine patibulaire.
Si je ne me « déguisais » pas en garçon, que je me mettais des habits féminins et que je me laissais pousser des cheveux, j’aurais l’air d’une fille à peine dans la moyenne de beauté et plutôt virile, mais, cheveux courts et vêtements masculin, je ressemble beaucoup plus à un garçon presque mignon et surtout mystérieux. Je suppose que c’est en partie pour cette raison que je joue cette comédie. Question style vestimentaire, c’est très variable, mais, je ne me souviens pas avoir mis une quelconque jupe, une robe ou bien n’importe quel autre vêtement de ville ou aux couleurs trop flash, et ce, depuis mon arrivée ici, et même avant en fait. Mes goûts vont vers des choses simples et pratiques, la base étant un pantalon (noir ou autre couleur foncées) + une chemise (blanche par défaut) + une veste ( verte foncée la plupart du temps, mais, j’en porte aussi parfois des bleue marine ou grise) à cela s’ajoute parfois une cravate rouge, quand je n’ai pas trop le flemme de la nouer (sans compter que mes nœuds sont souvent restés, ce qui peut énerver certaines personnes perfectionnistes et me donne un peu un air négligé) . Bien sûr, je ne porte pas tout ça en permanence, il m’arrive bien souvent de me vêtir d’un bermuda et d’enfiler un tee-shirt, mais, ce que j’ai cité ci-dessus est la base de mes habitudes vestimentaires. On peut noter aussi que, malheureusement, certaines de mes affaires sont parfois un peu grandes, m’obligeant à user de ceintures, d’épingles à nourrices et autres stratagèmes…
Certain, même en m’observant des jours entiers, pourraient croire que cette expression d’extrême neutralité sur mon visage est la seule que je possède. C’est faux, archi-faux. Bien, que je ne prenne pas la peine de sourire aux autres ou même de paraître énervé, je dispose de toute une palette de mimiques destinées à attendrir mon entourage ou bien pour m’en moquer. Ainsi, je peut paraître très mignon en faisant ressortir le peu de féminité qu’il y a en moi et en l’utilisant de manière à faire rosir mes joues et à faire briller mes yeux, ou bien, je peux avoir l’air faussement étonné, histoire d’embéter les autres… L’effet comique de ces brusques changements d’expression vient du fait qu’elles sont très rares et éphémères. Enfin, quand je dis « L’effet comique, c’est pour moi que je dit ça, car, il paraît que mon humour est plutôt nul, mais je préfère me dire qu’il est si profond que je suis le seul à comprendre mes références. Mes véritables sourires sont rares, très rares, et, je ne les ai pas accordés à un autre être humain que mon frère que très rarement. Donc, si vous voulez le voir, ce sourire sincère, ce sera dur de l’obtenir, mais, on peut parfois le voir naître sur mes lèvres quand je me crois seul, que je me sent bien et que le musique diffusée par mon casque me plait. Oui, encore un détail qui à son importance : je porte presque toujours un énorme casque audio sur les oreilles, diffusant de la musique la plupart du temps douce et à faible volume. En voyant ce casque, certains pourraient penser que je ne les entends pas, ou que je ne les écoute pas, mais, détrompez vous, même si je parais absent, j’écoute, d’ailleurs, je suppose que c’est mon passe temps favoris : écouter les autres, à leur insu ou pas.

• Vous •

• Prénom: Olivia
• Âge: *Compte sur ses doigts* Alors, un, deux trois...
• Votre expérience rp: Je dirais, depuis, heu... près de quatre ou cinq ans maintenant ?
• Comment avez-vous connu le forum? #Biiip# Le cerveau que vous tentez de joindre n'est pas disponible actuellement, veuillez rappeler après l'actualisation de la mémoire du sujet.
• Code du règlement : [CODE validé par Sekai](Powaa o/ )

Caractère :
Caractère ? Psychologie ? Dur à décrire, non ? Il est beaucoup plus facile de parler du physique de quelqu’un que de faire son portrait psychologique, car, après tout, la grande majorité des éléments important dans le physique d’une personne lambda sont visible, ce qui permet rien qu’en regardant tel ou tel individu de pouvoir le décrire, mais, le caractère… Pour se décrire soi-même physiquement, on peut demander aux autres, ou se regarder dans un miroir, mais, pour l’esprit, c’est bien plus dur, car, quel est le miroir qui renvois le reflet d’une âme ? Ha ! Si ! On dit parfois que les yeux sont le miroir de l’âme, mais, je n’y crois pas. Mon regard est presque toujours morne et terne, pourtant je ne crois pas que je le sois vraiment. Je ne peux pas faire confiance à mes yeux et rares sont les personnes m’ayant assez connues (Une seule, en fait…) pour pouvoir écrire quelques mots dans le mode d’emplois (« Nao pour les nuls ») Qui est un livre qui n’a jamais été écrit et qui de toutes façon ne serais jamais publié. Je vais donc me décrire, ce qui veut dire que tout ne sera pas exactement comme dans la réalité, l’être humain étant incapable d’émettre un jugement totalement objectif sur leur propre personne, certains se rabaissant, d’autre se surestimant, ce qui risque d’être mon cas, car, première leçon, mais pas la plus importante : j’ai tout de même une haute opinion de moi-même et même si je ne le montre pas spécialement, voire même pas du tout, j’ai tendance à mépriser un peu les autres, et la plupart me le rendent bien, car à première vue, je suis un gamin terne, ennuyeux et silencieux. Je doit avouer que ce n’est pas totalement faux, car, du fait que je ne dégage presque aucune présence et que je me tais pendant 95% du temps où je ne dors pas, ce qui à pour effet de pouvoir énerver tout ceux qui n’aiment pas le silence. Ce sont ceux-là que je méprise le plus, car ils sont la majorité du temps bruyant et, s’il y a bien une chose que je déteste c’est que l’on fasse trop de bruit près de moi. Surtout si ces bruits en question sont disgracieux, comme le bruit d’une avalanche de casseroles ou si ces bruits sont ceux d’une (ou de plusieurs…) Voix humaines occupées à se plaindre ou à s’abandonner à des discussions sans utilité. Oui, autre chose à ajouter à la liste des choses que je n’aime pas : les gens qui parlent pour rien dire, oui, j’aime rester au calme sans rien dire, juste de la musique douce dans les oreilles, paraissant ne rien éprouver, le regard fixe, c’est ce qui m’a valu assez rapidement une réputation d’asocial. Il faut dire, qu’étrangement, regarder les autres courir dans tous les sens m’apaise un peu, sans que je sache vraiment pourquoi. Et, à force d’être apaisé, il m’arrive souvent de m’endormir, oui, désolé, étant donné que j’ai besoin de beaucoup de sommeil chaque nuit, la moindre carence me rend somnolent et ça finis dans les bras de Morphée, dans ces cas là, mieux vaut me réveiller, car, même si ça risque de prendre un peu de temps, si je m’endors, je me déconnecte du monde, ce qui m’a valu plusieurs infractions de niveau 1, car, quand la cloche sonne deux fois il n’est pas rare que je ne l’entende pas. J’ai dis plus haut que les gens qui parlent m’énervaient, je ne vais pas revenir là-dessus, mais, juste une chose : si je déteste ces blabla, ce n’est pas pour autant que je ne les écoute pas. Oui, une de mes activités favorite est d’écouter les gens parler, car il faut croire que j’ai la rare qualité de comprendre ce que disent les gens et surtout je suis très objectif. Ce n’est pas parce que machin est plus charismatique et entouré que Truc qu’il aura raison, j’écoute les autres, je me forge mon opinion, peu importe qu’elle soit l’exacte contraire de celle des autres.
Ha ! Un point à ne pas oublier : je parle de moi au masculin et ne met jamais la moindre jupe, mais, biologiquement parlent, je suis une fille, en fait, on a dû faire une faute de frappe entre XX et XY en écrivant mon génome… Je ne le cache pas vraiment, si quelqu’un croie que je suis une fille, je ne le détromperais pas, mais, si on me le demande de but en blanc, je répondrais très certainement un « Ça ne se vois pas ? ». Le seul problème est que malgré que je veuille donner un ton ironique/humoristique à cette réplique, j’ai l’impression que je n’arrive pas à prendre une autre voix que celle sérieuse que j’utilise habituellement, couplé à mon visage toujours neutre et impassible, la sauce prend mal, il y en a beaucoup qui ont cru que j’était vexé, en colère ou autre, ce qui créée pas mal de malentendus. Pauvre de moi qui essaye (vaguement, très vaguement…) De faire de l’humour…
Un autre point, je suis un flemmard, je base mon existence sur une très étrange philosophie d’économie de mouvement, donc, j’évite de trop bouger et reste souvent assis pendant toute la journée. Remarque ça m’arrange, car, bien que cela ne se remarque pas, il me faut bien avouer que mes défenses immunitaires sont aussi paresseuses que moi… Je me retrouve donc souvent avec des fièvres inexpliquées (Quoique… Être resté sous la pluie pourrait être une explication…) Qui me donnent parfois des vertiges. Je déteste être malade, je déteste aussi que l’on me plaigne ou que l’on ai pitié de moi dans ces moments. Le refus de montrer ses faiblesses ? En partie sûrement, mais, en y réfléchissant bien, je suppose que c’est surtout parce que je ne supporte pas que l’on s’occupe de mes petits problèmes alors que je connais quelqu’un bien plus soufrant mais pourtant abandonné des autres.
Passons maintenant aux petites anecdotes, voulez-vous ? Premièrement, ma mémoire flanche, non, non, rassurez vous pas d’amnésies, juste, j’ai du mal à me rappeler des noms des gens, de leur visage ainsi que de tout ce qui contient trop de chiffres, les numéros, ce n’est pas mon truc. Donc, ne vous étonnez pas trop si je laisse parfois échapper un surnom souvent débile, ce sera juste un moyen technique pour éviter de vous oublier, même si ça ne marche pas toujours… Chose étrange tout de même qu’est ma capacité à garder mon visage neutre en toutes circonstances, chose énervante aussi, étant donné les situations où je devrais logiquement rougir, bafouiller, être gêné ( après une bourde par exemple) ou bien juste être en colère (ou du moins froncer légèrement les sourcils) et bien malgré ce que vous attendrez de moi, je garderais mon expression vague et mes yeux presque ternes. C’est frustrant ? Moi, ça m’amuse, même si vous ne risquez pas de voir un quelconque sourire sur mon visage. Que voulez-vous, j’ai un contrôle parfait sur mes expressions et ne laisse voir que celles qui sont montrables, fausses ou vraies.

Talent particulier :
Mon talent ? Je vais vous dire ça franchement, je « Disparais » non, pas d’inquiétude il n’est nullement histoire de téléportation ou d’homme invisible, juste, ma « présence » est si faible que peu de monde me remarque, et ce déjà en temps normal, cela paraît si naturel que je sois là… Je peut pousser cette particularité à l’extrême, ne faisant aucuns bruits ni mouvement superflu, à moins de me fixer des yeux ou de m’attacher solidement, il se peut que vous ne me voyez pas partir ou arriver. Hélas, je ne peut inverser la vapeur et on a souvent un peu de mal à m’accorder son attention.

Ambition :
J’ai très peu d’ambition, pour en avoir, il faudrait déjà que je sois certain d’avoir un avenir. Mais, je crois bien qu’au fond de moi, j’aimerais bien sortir d’ici, histoire de revoir le ciel, le vrai, sans avoir de plafond au dessus de la tête. Histoire de revoir me frère aussi, s’il n’a pas succombé à sa maladie durant ces neufs ans de captivité.

(Hi ! >3< Méchante limite ! )

Histoire :
Nao est née le 23 décembre 2024, au fond d’un laboratoire, à l’intérieur d’un utérus artificiel, comme bien d’autres enfants avant elle. En fait, elle n’aurait pas dû être une fille, mais, chaque expérience est unique et il y a toujours un risque d’erreur, cela aurait pu être pire, après tout. On la plaça dans une famille d’accueil, comme tous les autres, cette famille était celle des Takeshi, dont voici un extrait du dossier.

Citation :: Nom : Takeshi
Prénom du père : Kaoru
Prénom de la mère : Aika
Nom de jeune fille de la mère : Saito
Enfant(s) déjà à charge : 1
Noms et âges du ou des enfant(s) à charge : Gen ( 3 ans)
Profession du père : Anesthésiste
Profession de la mère : Infirmière

Une famille tournée vers la médecine et aux revenus moyens dont la mère était devenue stérile suite à la naissance de leur premier enfant. Pauvre gamin, il était condamné depuis sa naissance à cause d’une malformation respiratoire qui risquait fort de l’emporter avant sa 20e année. C’est pourquoi le couple voulu adopter un enfant, à deux, la douleur passe mieux.

Eté 2027
Mon premier souvenir s’accompagne d’une chaleur étouffante, c’était sûrement l’été, et puis après tout, nous ne sommes jamais allés au bord de la mer en dehors des grandes vacances. Mon premier souvenir est donc maritime, la mer scintillante, le ciel azuré, le jus qui me coule sur le menton quand je manche de la pastèque, les cris des mouettes, le bruis du vent, les rires des autres enfants et l’ombre du parasol. L’ombre où nous étions tout deux assis, Gen et moi. Je ne savais pas nager à l’époque, je ne sais toujours pas, mon frère, lui, ne pouvais pas. Sa maladie l’en empêchait. « Surtout, jamais d’exercice physique, il est encore jeune, il faut faire particulièrement attention, gardez toujours un inhalateur à portée de main en cas de crise » Asthme , allergies, il avait hérité de bien des maladies, un comble, pour un couple travaillant dans le milieu hospitalier de mettre au monde un enfant avec tant de problèmes et déjà condamné. Moi ? Je suis normale, non, normal. Je n’ai pas l’impression d’être une fille, ce doit être à cause du fait que je suis tout le temps avec Gen, tout le monde crois que ça passera… Naïfs.

Printemps 2029
J’accompagne Gen partout où il vas, je le suis toujours comme son ombre et, cela ne nous gène pas, ni l’un, ni l’autre, nous sommes frères et cela se voit, nous nous ressemblons déjà beaucoup physiquement, si ce n’est qu’il à les cheveux un peu plus noirs que les miens et que ses yeux sont bleus, comme ceux de nos parents, je suis le seul à avoir les yeux verts. Au delà de l’apparence, nous nous ressemblons par l’âme, par notre manière d’être aussi, tout deux très calmes, presque zen, tout deux silencieux, n’ayant pas besoin de parler pour se comprendre. Gen à très souvent des examens à passer, des IRM, des radios, des échographies, je l’accompagne à l’hôpital et reste à l’attendre sans bouger, assis par terre, quand il sort, je ne lui demande même plus si ça s’est bien passé, si on lui à dit que ça allait s’arranger, rien qu’a la vue des sourires crispés des médecins, je sent bien que sa santé ne s’arrange pas, lui aussi le sait, à il accepté ce destin ou bien n’a il pas encore réalisé qu’il ne vivrait pas vieux ? En toutes circonstances, il garde un visage neutre, je crois bien être le seul auquel il souriait franchement. Et je le lui rendais bien. Nos parents sont presque toujours absents depuis que nous avons atteint un age ou nous pouvions nous faire à manger et utiliser le téléphone. En fait, quand j’y repense, ce n’est pas vraiment mes parents qui m’ont appris tout ce que je sais, mais bien Gen.

Automne 2030
Nous avons été séparés. Il y a deux semaines, des gens sont venus en disant qu’ils voulaient me récupérer. Ma mère à laissé couler quelques larmes, le chef de famille paraissait éberlué, mais c’est tout ce que j’ai pu récolter comme réactions de ce côté, comme s’ils s’y attendaient un peu. J’avais bien un pincement au cœur à l’idée de les quitter, ils étaient mes parents, tout de même,mais, ce n’était rien, comparé à la douleur de devoir quitter Gen. Gen… Je l’avais déjà vu pleurer de douleur pendant une de ses crises, je l’avais déjà vu pleurer de tristesse quand un oisillon tombé du nid que nous avions recueilli s’était fait bouloter par un chat du voisinage, mais là, c’était différent. J’ai essayé de me débattre, sortant de ma léthargie habituelle, j’ai essayé de mordre, de griffer, tout, mais, on ne m’a pas lâché, un somnifère et tout se brouilla dans ma tête. Noir.
Je m’étais réveillé dans une vaste pièce, au milieu de nombreux autres enfants, beaucoup pleuraient, hurlaient, frappaient contre les murs afin de calme leur angoisse. Moi, j’étais encore sous le choc, je me suis donc assis par terre, contre un mur, la tête sur mes genoux repliés, comme j’avais l’habitude de m’installer lors ce que j’attendais Gen à l’hôpital. La seule chose qui trahissant mon mal-être était mon poing, assez fermé, crispé, je laissait mes ongles trop longs me perforer la peau de ma paume, j’aperçoit encore les cicatrices en observant bien. Une femme finit par m’appeler, elle me posa des question auxquelles je répondit presque au hasards, elle parut hésiter avant de me demander de mettre ma main dans une machine, sûrement car je saignait, mais, un peu de désinfectant et deux bouts de sparadrap plus tard, je dû quand même insérer mon bras dans l’engin. Si j’avais su que cela ferait aussi mal, je n’aurais pas séré mon poing aussi fort. Finalement, on me renvoya dans la grande sale ou je n’étais pas le seul à avoir la main qui me faisait souffrir. La salle commença à descendre et nous découvrîmes tous l’endroit où nous devrions passer nos futures années.

Et maintenant ?
Pas grand chose, je passais ces neufs années dans le silence, attendant patiemment un changement, mais en fait rien. Je côtoyais les autres, ne me souvenant pas de leur nom ou de leur visage, pensant régulièrement à Gen. C’est à peu près tout. J’étais un « Deux » comme dans les jeux de cartes, un rang bas, très bas, le deux est la carte la plus faible quand on joue à la bataille, là, nous étions tout de même supérieurs aux as, piètre consolation. Les deux sont les « Cocooners » je doit donc m’occuper du bien être des autres, à force de massages, de manucure et de coiffures. Je ne suis pas très bon pour faire des massages, il paraît que l’on ne me sent pas assez, par contre, j’aime beaucoup manucurer les ongles des autres ou bien leur couper les cheveux… Enfin, aimer beaucoup est un terme un peu fort, disons que j’apprécie de couper la kératine.
Seul un événement fut assez important pour que je m’en souvienne, l’assassinat d’un jeune homme, vraisemblablement du même âge que Gen. C’est sûrement ça qui m’a frappé, bientôt, mon frère serais dans le même état que cet homme aux cheveux rouges dont je ne me souvient plus du nom… Si ce n’était pas déjà fait. C’était la première mort dans Pink Cage, comptaient-ils attendre que nous nous éteignions un à un ? j’espère que non, car, je sens bien que malgré tout le self-control que j’ai en réserve, je ne pense pas pouvoir supporter de rester ici jusqu’à ma mort.

Bienvenue Nao! o/

Rien à redire sur ta fiche même sij'ai un peu hésité au niveau de ton pouvoir mais finalement, ça ne me dérange pas plus que ça.

Je te verrai bien Pique, reste à voir ce qu'en pensent les autres. Nao Takeshi {Finish !} 45419

Bienvenu(e) à la Pink Cage, Nao-san ^^

Tu n'aimes pas les blablas inutiles. Tu écoutes les gens, tu comprends même bien leurs dires, car tu es très objectif. Et ben tu vas bien t'amuser ici vu qu'il y a beaucoup de blablas inutiles et de sous-entendus et de secrets à découvrir ><

Effectivement, Masami a raison, tu ferais un très bon Pique.

Pas de souci pour ta fiche, je valide également.

Sekai ton humble serviteur.

Merci beaucoup vous deux n_n Je me met à écrire mon premier rp de suie, si l'orage ne continue pas...

Bienvenue un peu en retard. Désolé de ne pas avoir participer à ta validation, ayant peu de temps à consacrer aux forums en ce moment.
Bon rp parmi nous. ^^